Wednesday, 9 September 2009

SANDRINE NGALULA MUBENGA

Une jeune savante de la RDC, Sandrine Ngalula Mubenga, se voit décernée le trophée « Nkoyi Mérite » à WashingtonKinshasa, 31/08/2009 / Politique
La voiture électrique qu'elle avait inventée est déjà sur le marché. Le sénateur de OHIO et le gouverneur de cet Etat ont eu l’occasion de féliciter la jeune congolaise pour ses prouesses.
Sandrine Mubenga, une compatriote résidant aux Usa, a été honorée par la communauté congolaise basée à Washington DC du trophée « Nkoyi Mérite » de l’année 2009 pour avoir abattu un travail de professionnalisme d’ingénieur en électricité. Pendant la cérémonie de remise de cette récompense, les organisateurs n’ont pas caché leur fierté de voir une jeune femme congolaise parvenir à fabriquer un véhicule qui roule sur l'hydrogène. Au regard de ce travail de titan, la communauté congolaise considère l’heureuse lauréate comme une femme modèle congolaise qui est entrée dans l’histoire du monde dans le secteur de la technologie moderne. C’est l'ambassadeur de la République Démocratique du Congo en Rdc qui a remis en personne le prix ainsi que le trophée pour le travail réalisé. C'est là une étape très importante pour Sandrine Mubenga qui voit ses mérites reconnus. Un parcours digne d’élogesCe n’est pas la première fois que Sandrine Ngalula Mubenga se fait remarquer par ses prouesses scientifiques et épate un large public avisé par ses inventions. En effet, il nous revient des sources familiales qu’après avoir vécu dans plusieurs pays (RD Congo, France, Belgique, Sénégal), à l’âge de 12 ans Sandrine Mubenga s’est retrouvée à Kikwit au Bandundu. La cité de Kikwit n’avait à cette époque ni eau ni électricité. Ceux qui le pouvaient devaient acheter un groupe électrogène pour avoir du courant. Et voilà qu’à l’âge de 17 ans, Mubenga tombe gravement malade et devait être opérée d’urgence. Malheureusement, l’hôpital Générale de Kikwit n’avait pas de carburant pour démarrer le groupe électrogène et opérer la malade. Pendant trois jours d’attente, la vie de Mubenga dépendait du courant électrique. Sandrine Mubenga considère son opération comme une chance et une bénédiction car d’autres personnes meurent à cause de ce manque d’électricité. C’est à ce moment-là que Mubenga réalisa la nécessite de l’électricité et décida de faire quelque chose pour changer la situation. Au 21ème siècle il est inadmissible de mourir à cause du manque d’électricité. Mubenga décidera donc de devenir ingénieure. En 2005, elle obtient avec sa Licence en Génie électrique de l'Université de Toledo de l’Etat de Ohio. Sa persévérance au travail académique lui fera remporter plusieurs bourses et prix en plus de quelques apparitions dans les journaux américains tels Toledo Blade, UTNews. En dernière année de Licence, elle se fera plus remarquer par l’invention qu’elle réalisera d’un système solaire portable qui procure de l'électricité à partir d'un panneau solaire. Passionnée par les énergies alternatives et renouvelables, elle poursuit une formation pour créer et intégrer les systèmes solaires photovoltaïques. En travaillant pour Advanced Distributed Generation, le plus grand installeur de système solaire dans le Midwest américain, elle a l'occasion de faire le design et installer plusieurs systèmes solaires dans la ville de Toledo à Ohio. Apres sa Licence, Mubenga travaille à la compagnie d'électricité First Energy dans le système de distribution où elle est ingénieure dans le groupe de planification pendant un an. Toujours passionnée par les énergies alternatives, Mubenga rentre aux études pour poursuivre une Maîtrise en Génie Electrique dans la spécialisation de Puissance, sous l'aile de Dr. Stuart, un professeur connu dans le domaine et qui détient plusieurs inventions reconnues à son actif. A côté de cet éminent scientifique et pour sa recherche, Mubenga fait une démonstration sur les technologies d'énergie alternative. Elle rend une voiture électrique hybride en intégrant une pile à combustible à hydrogène. La voiture créée roule en utilisant l'hydrogène comme carburant et le courant direct. Il s’agit d’une voiture qui ne pollue pas et dont le seul déchet est l'eau pure. En effet la pile à combustible utilise le gaz hydrogène et l'air pour produire du courant direct. Ce courant est ensuite utilisé par un moteur électrique qui fait tourner les roues d'une voiture. Dès lors que cette voiture roule à partir d'hydrogène, la deuxième partie du Project consiste à générer cet hydrogène. Mubenga fait le design d'une station génératrice d'hydrogène avec pompe à hydrogène. La station est constituée d'une machine a électrolyse qui prend de l'eau et la décompose en hydrogène et oxygène. La station est alimentée par un système solaire qui produit de l'électricité. La voiture peut donc rouler jusqu'à la station et faire le plein d'hydrogène. Tout le système - des panneaux solaire jusqu'a la voiture - ne produit pas de pollution, pas de gaz carbonique. Il est silencieux et utilise les énergies renouvelables, notamment le soleil et l'hydrogène. Cette recherche est financée par le Département d'Energie Américain et le Département de Développement de l'Etat de Ohio. Sandrine Mubenga a déjà réalisé dans le même cadre un plan pour électrifier tous les villages de la RD Congo par l’énergie alternative. La jeune inventrice a, par ailleurs, réussi le test de certification nationale pour l'Etat de Ohio où elle est officiellement inscrite comme Ingénieure. Le Sénateur de OHIO et le Gouverneur de l'Etat ont même eu l’occasion de féliciter la jeune congolaise pour ses prouesses. Ngalula Sandrine Mubenga a épousé un compatriote, Fidele Lufungulo. Ensemble ils ont deux charmants enfants.A l’heure où la Rdc devient un vaste chantier de reconstruction, le cas de cette inventrice mérite de retenir l’attention. Ce ne sont pas les talents qui manquent à la RD Congo, mais simplement la volonté politique.(CKD/TN/GW/PKF)MMC/Digitalcongo.net

CASTER SEMENYA....NEW LOOK


Embattled track star Caster Semenya gets new coach, new look
By Chris Chase
It's been a week of change for Caster Semenya, the South African runner at the center of a gender controversy at last month's world track championships.
First, one of her South African coaches quit the team in shame for not telling Semenya that she was being subjected to gender tests. (Semenya had thought she was taking a doping test.) Then, Semenya appeared on the cover of South Africa's You magazine with a complete makeover designed to silence critics who insist she is a man.
For the shoot Semenya sported a less ambiguous hair style, a designer black dress, jewelry, makeup and nail polish. Despite what you think about the whole situation, it's safe to say that this is the first time that Semenya has truly looked like an 18-year old woman.
She says she likes the look too. Semenya told the BBC:
"I'd like to dress up more often and wear dresses but I never get the chance.
I am who I am and I'm proud of myself."
Let's hope this is what she wants though.
Nothing Semenya has done in the past month has suggested that she likes to wear dresses, get manicures and let down her hair. After the controversy broke, she kept her cornrows, wore baggy clothes and pounded her chest in victory like a college football cornerback. When she returned to her hometown, she was dressed the same way. There's absolutely nothing wrong with that. That seemed to be Semenya's natural inclination. This feels forced.
Hopefully I'm wrong. But if Semenya was pressured to do this to silence her critics, then this is a sad story rather than one of retribution. The opinions of a few jealous coaches shouldn't have an effect on how an 18-year old carries herself. If Semenya wants to wear dresses then she should. But if she wants to run around in track suits, what's the problem with that?
The coach who resigned wasn't Semenya's personal coach, but a middle distance supervisor on the South African team who was ashamed that Semenya was kept in the dark about the growing controversy. Wilfred Daniels said he was told the issue was supposed to stay private